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Liste de Mots-Clés

Identification et Contextualisation

  • Dr Jean-Yves Henry
  • Complexes Homéopathiques d’Urgence (CHU)
  • Faculté Francophone de Médecine Intégrée
  • « L’homéopathie facile »
  • Médecine intégrée
  • Prescription téléphonique
  • Pathologies organiques
  • Solutions d’urgence

Fondements Théoriques

  • Samuel Hahnemann
  • Hans-Heinrich Reckeweg
  • Homotoxicologie
  • Simillimum
  • Complexe homéopathique
  • Terrain biologique
  • Dysfonctions de terrain
  • BNS (Bilan Nutrition Santé)
  • Biologie fonctionnelle

Classifications des CHU

  • Complexes de terrain
  • Complexes d’urgence
  • Sels complexes de Schüssler
  • Mixtures-santé
  • Système nerveux
  • Système digestif
  • Pathologie infectieuse
  • Pathologie allergique
  • Pathologie vasculaire
  • Pathologie rhumatismale
  • Formules ORL
  • Formules gynécologiques
  • Formules dermatologiques
  • Complexes urinaires
  • Oncologie
  • Organothérapie

Formulations Spécifiques

  • Staphysagria comp
  • Phosphoricum comp
  • Ignatia comp
  • Vipera comp
  • Arnica montana
  • Calcarea fluorica
  • Hepar sulfur
  • Echinacea
  • Apis mellifica
  • Belladonna
  • Chamomilla
  • Natrum muriaticum

Aspects Techniques

  • Dilutions homéopathiques
  • 30K (30 Korsakoff)
  • 7 DH (décimale hahnemannienne)
  • 30 DH
  • CH (centésimale hahnemannienne)
  • Posologie
  • Administration
  • Gouttes
  • Comprimés
  • Ampoules

Indications Thérapeutiques

  • Anxio-dépressif réactionnel
  • Épuisement nerveux
  • Hystérie
  • Stase veineuse
  • Fragilité capillaire
  • Traumatismes
  • Spasmes viscéraux
  • Névralgies
  • Céphalées
  • Migraines
  • État inflammatoire
  • Pathologies aiguës

Laboratoires et Références

  • Laboratoire Heel
  • Traumeel
  • Spascupreel
  • Laboratoire Lehning
  • Laboratoire Weleda
  • Laboratoire Regena
  • Laboratoire Boiron
  • Pharmacie des Bergues (Genève)

Approche Intégrative

  • Médecine allopathique
  • Thérapeutiques complémentaires
  • Approche holistique
  • Interactions médicamenteuses
  • Précautions d’emploi
  • Sécurité d’intégration
  • Parcours de soins
  • Evidence-based medicine

Applications Cliniques

  • Urgences médicales
  • Pathologies chroniques
  • Pédiatrie
  • Gériatrie
  • Grossesse
  • Convalescence
  • Prévention
  • Traitement de fond

Aspects Réglementaires et Sécuritaires

  • Cadre légal
  • Formation professionnelle
  • Limites d’utilisation
  • Contre-indications
  • Surveillance thérapeutique
  • Collaboration interdisciplinaire

Suggestion de Structure du Prompt

« Rédigez un article scientifique exhaustif de 2000 mots sur les Complexes Homéopathiques d’Urgence (CHU) du Dr Jean-Yves Henry, en intégrant [utilisez les mots-clés ci-dessus selon les sections souhaitées]. L’article doit présenter une approche rigoureuse avec fondements historiques, compositions détaillées, indications cliniques précises, protocoles d’administration, et considérations de sécurité pour une intégration professionnelle dans un parcours de soins. »

Si la recherche du remède similimum (remède qui couvre l’ensemble des symptômes du patient) doit rester notre préoccupation constante, s’appuyant sur les symptômes étiologiques (énergies externes), pathologiques (stades de la maladie et tissus impliqués) et personnels du patient (les volumes internes en cause), nous devons bien souvent nous appuyer sur une approche complexiste et/ou organique. Celle-ci permettra d’ailleurs de dégager beaucoup de symptômes secondaires et souvent de conduire ultérieurement au remède similimum de façon plus objective. Cette façon d’associer les remèdes est aussi vieille que l’homéopathie, car du vivant de Hahnemann déjà, de nombreux praticiens, ayant remarqué que quelques remèdes seulement couvraient une symptomatologie particulière, utilisaient des complexes afin d’élargie le spectre d’action des remèdes et de leur simplifier la tâche, en limitant le risque d’erreur, donc d’échec.

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Attention cependant au piège de l’efficacité ! Un résultat probant obtenu facilement ne doit pas vous faire oublier que le remède similimum doit être recherché et prescrit, sous peine d’une rechute ultérieure. Certains « puristes » dédaignent la méthode, en mettant en avant que pour que celle-ci soit strictement homéopathique, il faudrait que nous disposions de pathogénésies de ces mélanges … Or quelques expérimentations ont en effet été faites de la combinaison de médicaments et publiées par le dr. Molin en 1840 : « Sulfur + Nux vom. » puis « Aconit + Belladonna » …

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Ces formules sont plus orientées vers l’aigu (CHU), d’autres remèdes, comme les « sels biochimiques », vers des dysfonctions plus chroniques. Correctement choisis et donnés conjointement au similimum, ces remèdes aigus auront de plus l’avantage de faire disparaitre l’essentiel de la classique « phase d’aggravation » qui suit la prise de celui-ci.

Ces formules (associations les plus simples possibles de remèdes synergiques) ont été conçues dans l’optique d’un traitement d’urgence.

Ces formules sont plus orientées vers l’aigu (CHU), d’autres remèdes, comme les « sels biochimiques », vers des dysfonctions plus chroniques. Correctement choisis et donnés conjointement au similimum, ces remèdes aigus auront de plus l’avantage de faire disparaitre l’essentiel de la classique « phase d’aggravation » qui suit la prise de celui-ci. Nous les avons dénommés CHU = Complexes Homéopathiques d’Urgence.

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Elles ont d’abord été désignées par un sigle ou abréviation (ex. : « Na5 » pour les 5 sels de sodium). Il existe un obstacle limitant la pratique de l’homéopathie injectable : un délai de 14 jours est imposé par la législation pour la délivrance des ampoules injectables (l’asepsie du lot doit être contrôlée biologiquement), d’où la nécessité de se constituer un stock de flacons d’avance au cabinet (assortiment de formules permettant de faire face à un grand nombre de situations urgentes).

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La législation de préparation des solutés injectables s’étant considérablement durcie ces dix dernières années, nous avons du renoncer à cette forme – pourtant élégante et d’action instantanée. Nous l’avons donc remplacé par :

  1. Des pulvérisations nasales, flacons isotoniques de 20 ou 30 ml pouvant contenir une à trois formules synergiques (aéropulseur de prescription magistrale).
  2. Des tubes granules (mode classique d’administration des remèdes). La forme granules est préparée classiquement et désignée sous le vocable « composé » (ex. « Natrum compositum » = « Na5 »). Vous avez intérêt aussi à constituer un petit stock au cabinet, car le laboratoire va demander quelques jours pour la préparation et il s’agit de formules pour l’urgence !

NB. Ne les prescrivez (ordonnance remise au patient) qu’en formules détaillées, sinon le pharmacien du quartier sollicité ne saura pas ce que vous souhaitez et vous risquez même d’être inquiété sous prétexte de « médecine secrète » !.

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Pour obtenir un spectre d’action plus large, ces associations sont réalisées sur la base de :

—> Remèdes de la même classe biochimique (technique de Mercier, ex.: les principaux sels de Calcium, Magnésium, Potassium…),

—> Remèdes ayant la même polarité d’organe (ex.: les cinq remèdes du territoire du nerf trijumeau, les trois remèdes des végétations adénoïdes …),

—> Remèdes se complétant dans leur action physiopathologique (ex.: Hepar sulfur et Silicea dans la suppuration). Il est possible, en fonction des exigences cliniques, d’utiliser plusieurs formules à la fois… en respectant dans le choix de ces différentes formules le tableau symptomatique individualisé. La première prise est généralement faite par le médecin (dentiste ou vétérinaire), les suivantes seront données au patient (granules ou aéropulseur).

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L’expérience nous a prouvé qu’il fallait – pour l’urgence – avoir sous la main une trousse d’urgence des CHU. C’est pourquoi nous organisons la diffusion, à partir d’un préparatoire pharmaceutique suisse, de trois trousses des tubes granules des formules CHU :

  1. Trousse praticien (Grande) – 36 formules, à choisir sur la liste des 50 formules disponibles (bon de commande à télécharger dans la « boutique »)
  2. Trousse patient (Petite) – 16 formules – dont les complexes de l’infectieux. Dans les formules exposées dans les chapitres suivants, nous signalerons la présence de ces formules dans les deux types de trousses (Petite/Grande).
  3. Trousse du dentiste – 9 formules (10 grands tubes), pour l’utilisation au cabinet.
  4. L’homéopathie facile : utilisez les complexes !.L’APPROCHE COMPLEXISTE : une tendance simplificatrice ?Ces praticiens utilisent des mélanges de remèdes en dynamisation décimale limitée. S’ils admettent la loi d’analogie et l’expérimentation sur l’homme sain, ils minimisent l’individualisation du malade et les symptômes subjectifs de la matière médicale. L’homéopathie complexiste a été conçue comme l’utilisation d’associations de remèdes visant à couvrir une situation clinique particulière, sans se perdre dans les difficultés de la répertorisation uniciste … Les praticiens utilisant cette méthode, ayant remarqué que quelques remèdes seulement couvraient une symptomatologie particulière, utilisent des complexes afin de leur simplifier la tâche, en limitant le risque d’erreur, donc d’échec..On observe néanmoins deux philosophies différentes de complexes :
    • –> L’association de remèdes destinée à élargir le spectre thérapeutique sur un symptôme, comme les associations visant à couvrir les différentes sortes de toux, exemple : Althaea + Drosera + Ipeca + Marrubium + Pulsatilla
    • –> L’association de remèdes choisis pour leur synergie dans une situation particulière, comme par exemple dans un traumatisme de chirurgie dentaire : Arnica (sang) + Ruta (tendons) + Symphytum (os) + Hypericum (nerf) + Natrum surf. (oedème)
    .Avant-propos.« Les propriétés thérapeutiques des médicaments résident exclusivement dans leur faculté de provoquer des symptômes pathologiques chez l’homme sain et d’en faire disparaitre chez le malade… L’expérience nous apprend que tous les médicaments guérissent, sans exception, les maladies dont les symptômes se rapprochent le plus possible des leurs… Dans l’organisme vivant, une affection est atteinte d’une manière durable par une autre, dynamiquement plus forte, si celle-ci (différente d’espèce) lui ressemble cependant beaucoup dans sa manifestation. » (S. Hahnemann, Organon paragraphes 22 et 26)..Contemporain de la Révolution française, Samuel HAHNEMANN codifie une méthode thérapeutique originale par l’expérimentation et l’utilisation de micro- doses médicamenteuses (beaucoup de substances toxiques diluées et dyna- misées) choisies selon leur capacité d’agir sur certaines régulations biologiques corporelles, correspondant à un tableau de symptômes expérimentés (leurs « pathogénésies »)..Cette thérapeutique atoxique élégante et très efficace est cependant difficile à mettre en œuvre, car elle nécessite un relevé complexe des symptômes personnels du patient et une connaissance approfondie de la plupart des 2 000 remèdes de la Matière médicale homéopathique !.Il existe presque autant d’écoles d’homéopathie que de psychologie ! Rien d’étonnant à cela, car les problèmes posés par la méthode sont multiples :A – Le problème du choix du (des) remède(s)
    B – Le problème de la hauteur de la dilution – dynamisation C – Le problème de la répétition du remède (posologie)
    D – Le problème de l’aggravation thérapeutique.Pour répondre à ces questions fondamentales, il faut bien comprendre la nature de la maladie. Celle-ci est un déséquilibre brutal au sein d’un système jusqu’à présent en équilibre. Exemple imagé : imaginons une petite fille en promenade et son ballon. Un garnement passe et d’un coup d’Opinel sectionne la ficelle….La conséquence est immédiate : le ballon s’envole et la ficelle retombe ! C’est- à-dire qu’un système en équilibre, quand il se rompt, présente toujours des conséquences de type hyperfonction pathologique (Yang – le ballon) et hypostructure (Yin – la ficelle). Si l’on se contente de ramener le ballon (rôle du remède homéopathique en haute dilution) sans rattacher la ficelle/nourrir la structure défaillante (rôle des basses dilutions), l’équilibre ne sera pas rétabli durablement.Revenons aux problèmes spécifiques à la prescription homéopathique :.A – Le problème du choix du remède
    Celui-ci doit émerger de la valorisation des symptômes, c’est une sorte de « diagnostic fonctionnel » (nom du remède à l’impact organique spécifique) qui laisse complètement de côté le « diagnostic nosologique » (nom de la maladie), qui est la pierre angulaire de l’approche universitaire actuelle. C’est d’ailleurs une difficulté majeure de compréhension pour les praticiens de for- mation classique..B – Le problème de la dilution utilisée
    Pourquoi utiliser des remèdes en dilutions différentes ? Il faut prendre en compte le fait que l’effet d’un remède va varier selon sa dilution/dynamisation :Il existe en outre quatre types de remèdes en homéopathie :
    • – Les remèdes toxiques … utilisables en hautes dilutions uniquement, qui dispersent les hyperfonctions pathologiques.
    • – Les remèdes alimentaires …à utiliser en basses dilutions, pourcompenser les insuffisances.
    • – Les constituants naturels du corps (exemple : 12 sels de Schuessler) … qui peuvent être utilisés en hautes et basses dilutions, selon le but recherché.
    • – Les Nosodes, remèdes fabriqués à partir de tissus infectés) … qui sont les spécifiques des « situations chroniques graves que rien n’améliore », sorte d’immunothérapie micro-dosée..
    • C – Pas de posologie en homéopathie !
      En effet, classiquement on donne le remède et on doit attendre que l’effet de celui-ci s’estompe pour renouveler la prise. Ceci est logique pour les hautes dilutions, d’action prolongée, qui échappent aux règles de la toxicologie pour entrer dans le domaine de la signalétique (à partir de 12 CH, cf. nombre d’Avogadro).
      Les dilutions moyennes et basses, d’action plus brève, pourront être renou- velées quotidiennement pour maintenir leur effet.
    … etc..Table des matières :Avant-propos ………………………………………………………………………………..7Chapitre 1. Les dysfonctions de terrain ……………………………………… 17Chapitre 2. Choisir un remède complexe …………………………………… 23Chapitre 3. Les « mixtures-santé » ……………………………………………. 25Chapitre 4. Les complexes de terrain …………………………………………. 29Chapitre 5. Les douleurs et les spasmes …………………………………….. 37Chapitre 6. Les complexes du système nerveux ………………………… 41Chapitre 7. Les formules du système digestif …………………………….. 45Chapitre 8. Les formules de la pathologie infectieuse………………… 51Chapitre 9. Les formules de la pathologie allergique ………………….. 57Chapitre 10. Les formules de la chirurgie ……………………………………. 63Chapitre 11. Les formules de la pathologie vasculaire ………………… 65Chapitre 12. Les formules de la pathologie rhumatismale ………….. 73Chapitre 13. Les formules ORL……………………………………………………… 83Chapitre 14. Les formules gynécologiques ………………………………….. 87Chapitre 15. Les formules dermatologiques…………………………………. 91Chapitre 16. Les complexes urinaires ………………………………………….. 95Chapitre 17. L’oncologie ………………………………………………………………… 97Chapitre 18. L’organothérapie et la sérothérapie …………………………. 99Chapitre 19. Les formules ophtalmologiques ……………………………….. 81Bibliographie………………………………………………………………………….. 105…………………………………………Suite à quelques remarques de mes étudiants, je me suis rendu compte qu’il manquait à mon livre : « L’homéopathie facile » un petit chapitre sur les « sels complexes ». Le voici :.Chapitre 20Les « sels complexes »Les douze sels biochimiques de Schüssler constituent une base de micro-nutrition lors des traitements homéopathiques, proposés en 6 DH, dès que la structure a besoin d’être soutenue. On les utilise le plus souvent en complexes de 3 sels, selon les besoins, chez les enfants, lors de la grossesse, chez les convalescents et les gens âgés. Nous ne les développerons pas ici, les ayant déjà présenté dans un précédent ouvrage : « Les stratégies anti-âge »..En plus des 12 sels de base qui constituent l’essentiel de la structure du corps humain, Schüssler et ses confrères ont expérimenté 15 « sels complémentaires » (en 12 DH) que nous vous présentons ici :
    1. Kalium arsenicosum : peau, amaigrissement, faiblesses
    2. Kalium bromatum : calmant, céphalées de surmenage
    3. Kalium iodatum : thyroïde, gorge irritée, état dépressif
    4. Lithium muriaticum : troubles nerveux sévères, goutte
    5. Manganum sulfuricum : facilite l’absorption du fer (anémie), arthrose
    6. Calcarea sulfuricum : détoxifiant (vu plus haut en 6D)
    7. Cuprum arsenicosum : coliques (souvent avec Magnesia phos.), crampes
    8. Kalium aluminium sulfuricum : constipation avec ballonnements et coliques
    9. Zincum muriaticum : nervosité et insomnie, cheveux, ongles, diabète, troubles menstruels
    10. Calcium carbonicum : épuisement lié à un surmenage (souvent avec Calcarea sulf.)
    11. Natrum bicarbonatum : hyperacidité, excès d’acide urique (// Natrum phos.)
    12. Arsenicum iodatum : eczéma suintant, prurit, rhume des foins, acné juvénile sévère
    13. Aurum muriaticum natronatum : douleurs pelviennes, fibrome
    14. Selenium : protection du foie, hypolipémiant
    15. Kalium bichromicum : glaires, diabète, artériosclérose
    .Ces remèdes ont tous – entre temps – bénéficié de pathogénésies homéopathiques, qui se sont révélées particulièrement riches.Certains de ceux-ci – et quelques autres – ont en outre bénéficié de pathogénésies biologiques avec la méthode des BNS. Malheureusement, au fil des années, les laboratoires pharmaceutiques en ont supprimé un grand nombre de leur catalogue ! Nous avons donc été obligés de demander à la Pharmacie des Bergues (Genève) de nous préparer ceux-ci sous forme de 10 flacons de « sels complexes », les 6 premiers correspondant à nos terrains hippocratiques, les 4 suivants à des situations de souffrance tissulaire particulière. La dilution choisie pour les sels a été la 7 DH, associé (pour des raisons réglementaires) chacun à un remède homéopathique en 30 DH (15 CH)..L’action des trois premiers complexes sera dynamisée par la prise conjointe des vitamines B1/ B2/ B3/ B6 (relance du cycle de Krebs)..Sels SULFUR COMPLEX n°1 = Sulfur 30 DH + les sels de Soufre …
    • Cuprum sulfuricum 7 DH
    • Magnesia sulfuricum 7 DH
    • Manganum metallicum 7 DH
    • Zincum sulfuricum 7 DH aa
    Indications : stagnation et intoxication hépato-vésiculaire : affections tendino-musculaires, hémorroïdes, les hyperlipémies (en complément des oméga 3 : bonne alternative aux hypolipémiants), les intoxications (ex. : alcoolisme), les bourdonnements d’oreilles d’origine vasculaire …On peut compléter ces sels avec une plante choisie sur les propositions d’un BNS, par exemple : Betula pubescens.Sels PHOSPHORUS COMPLEX n°2 = Phosphorus 30 DH + les sels de Phosphore …
    • Magnesia phosphoricum 7 DH
    • Ferrum phosphoricum 7 DH
    • Kalium phosphoricum 7 DH
    • Zincum Phosphoricum 7 DH aa
    Indications : les dystonies sympathiques et les inflammations cutanéo-muqueuses (remède du pôle Poumon), spasmophilie, fragilité émotionnelle, syndrome de fatigue chronique, les allergies, les colopathies spasmodiques, les infections ORL récidivantes …On peut compléter ces sels avec une plante choisie sur les propositions d’un BNS, par exemple : Curcuma xanthorrhiza.Sels CALCAREA COMPLEX n°3 = Calcarea carbonica 30 DH + les sels de Calcium …
    • Calcarea iodata 7 DH
    • Calcarea sulfurica 7 DH
    • Calcarea muriatica 7 DH
    • Baryta carbonica 7 DH aa
    Indications : l’engorgement lymphoïde, la prise de poids, les congestions et infections respiratoires aiguës (le pus), les engorgements ganglionnaires, la trisomie 21 ….On peut compléter ces sels avec une plante choisie sur les propositions d’un BNS, par exemple : Glechoma hederacea.
    • L’action des trois complexes suivants est dynamisée par la prise conjointe des vitamines A/C/E (anti-oxydantes – activant le cycle des Quinones).
    .Sels NATRUM COMPLEX n°4 = Natrum muriaticum 30 DH + les sels de Sodium …
    • Natrum aceticum 7 DH
    • Natrum citricum 7 DH
    • Natrum phosphoricum 7 DH
    • Natrum silico fluoratum 7 DH aa
    Indications : le passage en phase acide (somatisation inflammatoire sur sécheresse tissulaire) : les douleurs = gastralgies, cystites, crise de goutte, arthrite, lithiases, fissures et ulcérations …On peut compléter ces sels avec une plante choisie sur les propositions d’un BNS, par exemple : Oenothera biennis.Sels KALIUM COMPLEX n°5 = Kalium carbonicum 30 DH + les sels de Potassium
    • Kalium bromatum 7 DH
    • Cuprum fluoricum 7 DH
    • Natrum selenicum 7 DH
    • Strontium iodatum 7 DH aa
    Indications : la prévention du vieillissement vasculaire : artériosclérose et troubles vasculaires (angor, artérite distale, HTA), micro angiopathie diabétique, hyperlipémie (avec le complexe n°1) …On peut compléter ces sels avec une plante choisie sur les propositions d’un BNS, par exemple : Arctium lappa ou Lampsana communis.Sels SILICEA COMPLEX n°6 = Silicea 30 DH + les sels de Silice
    • Kalium silico-fluoratum 7 DH
    • Magnesia silico-fluoratum 7 DH
    • Manganum silico-fluoratum 7 DH
    • Natrum silico-fluoratum 7 DH aa
    Indications : la déminéralisation et les auto-immunités : dégénérescence du conjonctif, ostéoporose, traitement de fond des maladies auto-immunes (particulièrement efficace dans la Spondylarthrite ankylosante et la polyarthrite rhumatoïde).On peut compléter ces sels avec une plante choisie sur les propositions d’un BNS, par exemple : Vanilla planifolia.Les autres complexes sont orientés vers des pathologies chroniques, situations de terrain biologique fragilisé, qui nécessitent des corrections particulières :.Sels ACETICUM COMPLEX n°7 = Cuprum aceticum 30 DH + les acétates …
    • Tri brome-aceticum acidum 7 DH
    • Tri chlore-aceticum acidum 7 DH
    • Tri fluor-aceticum acidum 7 DH aa
    Indications : les douleurs et la fatigue des patients cancéreux. A noter le bon effet sur les lésions cutanéo-muqueuses et l’immunodépression post radio ou chimiothérapique (cf. divers travaux du Pr. Vernes et du dr. Lefoll).On peut compléter ces sels avec une plante choisie sur les propositions d’un BNS, par exemple : Arbutus unedo ou Solidago virga aurea.Sels ANTIMONIUM COMPLEX n°8 = Antimonium metallicum 30 DH avec les sels suivants :
    • Ammonium muriaticum 7 DH
    • Natrum aceticum 7 DH
    • Zincum sulfuricum 7 DH aa
    Indications : complémentaire du n°2 : ce mélange relance l’épuration rénale (ammonium), le cycle de Krebs (acétate) et l’adaptation hormonale (zinc). Il s’est montré particulièrement efficace dans les allergies répétées (rhume des foins, asthme, eczéma).On peut compléter ces sels avec une plante choisie sur les propositions d’un BNS, par exemple : Cydonia vulgaris (rhume des foins) ou Juniperus communis (eczéma), Marrubium (asthme).Sels FERRUM COMPLEX n°9 = Ferrum sidereum 30 DH avec les sels suivants :
    • Silicea 7 DH
    • Ferrum muriaticum 7 DH
    • Natrum selenicum 7 DH aa
    Indications : les sels de la migraine (traitement de fond) – éventuellement complémentaire du n° 1On peut compléter ces sels avec une plante choisie sur les propositions d’un BNS, par exemple : Solanum lycopersicum.Sels URANIUM NITRICUM COMPLEX n°10 = Uranium nitricum 30 DH, avec les sels suivants :
    • Natrum aceticum 7 DH
    • Natrum bromatum 7 DH
    • Zincum sulfuricum 7 DH aa
    Indications : pour les complications (vasculaires et nerveuses) du diabète, traitement de fond – complémentaire du complexe n°5On peut compléter ces sels avec une plante choisie sur les propositions d’un BNS, par exemple : Sygyzium.Bibliographie :Pflüger homöopathische arzneimittel (Rheda, Allemagne)RICHARD A. « Introduction à l’étude de la biochimie du Dr Schüssler » (lab. Lehning)LERNOUT H.M. et TETAU M. « Les sels de Schüssler et les minéraux dilués et dynamisés » (Similia)KELLENBERGER Richard et KOPSCHE Friedrich « Les 12 sels minéraux de Schüssler, une clef pour la santé du corps et de l’âme » Editions Véga 1997Les 50 Complexes homéopathiques d’urgence (CHU) de FFMI / FRMI.Cette façon d’associer les remèdes est aussi vieille que l’homéopathie, car du vivant de Hahnemann déjà, de nombreux praticiens, ayant remarqué que quelques remèdes seulement couvraient une symptomatologie particulière, utilisaient des complexes afin de leur simplifier la tâche, en limitant le risque d’erreur, donc d’échec..Ces formules (associations les plus simples possibles de remèdes synergiques) ont été conçues dans l’optique d’un traitement d’urgence. Il est possible, en fonction des exigences cliniques, d’utiliser plusieurs formules à la fois… La première prise est généralement faite par le médecin (dentiste, naturopathe, sage-femme ou vétérinaire), les suivantes seront données au patient dans une enveloppe cachetée. Les complexes pharmaceutiques prendront le relaisPour le détail des formules, consultez sur ce site les différents chapitres concernant les CHUL’expérience nous a prouvé qu’il fallait – pour l’urgence – avoir sous la main une trousse d’urgence des CHU. Celle-ci peut vous être préparée à la demande par la Centrale Homéopathique et Pharmacie des Bergues. Quai des Bergues 25 1201 Genève Tél : 022.732.29.85http://www.pharmaciedesbergues.ch.C’est pourquoi nous organisons la diffusion, à partir de ce préparatoire pharmaceutique suisse, de petites trousses des tubes granules des formules CHU :
    1. Tube de 4 grammes (80 granules) = 10,80 francs
    2. Tube de 6 grammes (120 granules) = 13,35 francs
    .Trousse de 36 tubes = 385 francsTrousse de 16 tubes = 165 francs
    .Voici les 50 complexes disponibles =
    1. Acidum comp. (les 5 acides) … fatigue, irritations et douleurs
    2. Actea comp. … les cervicalgies
    3. Allium comp. … le rhume des foins
    4. Aloe comp. … les hémorroïdes
    5. Ammonium comp. (les sels d’Am) … la sécheresse tissulaire, l’état de mal asthmatique
    6. Apis comp. coma urémique
    7. Arnica comp. … Tous traumatismes, le « contre-coup »
    8. Aurum comp. … le cœur, la poussée d’HTA
    9. Baryta comp. … les grosses amygdales
    10. Bromum comp. … la laryngite
    11. Belladonna comp. la fièvre
    12. Bovista comp. … l’Œdème de Quincke
    13. Calcarea comp. (les 5 sels de Calcium) le tissu conjonctif
    14. Camphora comp. la syncope
    15. Cantharis comp. la cystite
    16. Capsicum comp. l’otite suppurée
    17. Chamomilla comp. la migraine
    18. China comp. l’hémorragie
    19. Cinnabaris comp. l’uréthrite
    20. Coca comp. les suites d’anesthésie locales, dentaires
    21. Colchicum comp. … la crise de goutte
    22. Ferrum comp. … la périarthrite scapulo-humérale
    23. Hamamelis comp. la cellulite, les jambes lourdes
    24. Helleborus comp. l’ictus blanc
    25. Hepar comp. le pus
    26. Ignatia comp. … l’hystérie
    27. Kalium comp. (les 7 sels de K) l’inflammation membranaire
    28. Kalium mur. comp. _la vaccination (_attention ne pas confondre !)
    29. Kalmia comp. les irradiations douloureuses, sciatique
    30. Lachesis comp. (les 5 venins) le sang
    31. Lithium comp. … l’anxiété
    32. Lobelia comp. … l’asthme de l’enfant
    33. Magnesia comp. (les sels de Mg) spasmes et douleurs
    34. Medusa comp. … l’urticaine solaire
    35. Mezereum comp. la sinusite
    36. Natrum comp. (les 5 sels de Na) … les endocrines
    37. Opium comp. … les suites d’anesthésie générale
    38. Oxalis comp. … la colique hépatique, néphrétique, les spasmes viscéraux
    39. Phosphoricum comp. l’épuisement, la dépression
    40. Phytolacca comp. les végétations adénoïdes hypertrophiées
    41. Quebracho comp. toux et dyspnée
    42. Robinia comp. … les gastralgies
    43. Siegesbeckia comp. la lymphangite
    44. Stannum comp. les douleurs de la région dorso-lombaire
    45. Staphysagria comp. les « Non-dit »
    46. Sulfur comp. (les 5 sels de soufre) … les enzymes, les stagnations
    47. Thuya comp. … l’arthrose
    48. Verbascum comp. le trijumeau
    49. Viburnum comp. … la dysménorrhée
    50. Vipera comp. … phlébite et ulcères variqueux
    NB. Ces complexes sont proposés par le calcul dans la 4ème rubrique de notre logiciel de répertorisation SYNTHESE.Coffrets ALL.STOP et RHUMA. STOP (10 tubes) = 135 francsLes 4 doses de Noso-gaz = 38,20 francs (5 types différents disponibles)